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Témoignage d'Alexandra Caix, cliente granulés de bois
Depuis 2017, le groupe Butagaz propose des granulés de bois, une énergie de chauffage économique, souple et respectueuse de l’environnement. Les granulés sont fabriqués à partir de sciure d’arbres résineux issus des forêts ardennaises, landaises et auvergnates. Ils assurent un meilleur rendement comme en témoigne leur certification DIN Plus, gage de leur haut pouvoir calorifique (4,9 kWh/kg). Ils s’utilisent dans des appareils de chauffage spécifiquement conçus pour leur combustion (poêles ou chaudières à granulés).
Le groupe Butagaz offre la possibilité d’une livraison d’une palette à domicile en deux fois, au plus près du lieu de stockage, un paiement en 3 fois sans frais et le choix entre deux tailles de sacs (8 ou 15 kg de granulés) afin de simplifier la vie de ses clients. La consommation de granulés de bois sur l’année se calcule en fonction de la consommation par jour. En moyenne, ce sont 2 tonnes utilisées par foyer sur l’année, soit environ 2 palettes de granulés de bois en sacs de 8 kg. Butagaz propose à tous ses clients de participer à la protection de notre planète en recyclant les emballages des sacs et les palettes. Ils sont récupérés gratuitement chez les clients lors de la livraison suivante pour leur donner une seconde vie.
Cliente depuis 2017, Alexandra Caix a opté pour les granulés de bois en remplacement d’une vieille chaudière au fioul. « Cette solution nous permet de chauffer toute la maison d’octobre à avril et une palette nous suffit pour l’hiver. » Alexandra ajoute que son choix a été aussi guidé par des délais de livraison raisonnables et un prix abordable que Butagaz propose de lisser en un paiement en trois fois. Mais sa principale motivation pour cette énergie repose sur sa contribution environnementale : « Choisir les Granulés de Bob, c’est choisir de ne pas déforester et respecter la biodiversité car les granulés sont issus de déchets de scieries. »
Témoignages de Fabrice Lamotte et Fabrice Karolczack, de la société Oissel Transports
Butagaz favorise l’usage de camions au GNL (Gaz Naturel Liquide) ou GNC (Gaz Naturel Comprimé) par ses partenaires transporteurs pour diminuer l’empreinte carbone de ses activités. Ce carburant impose de nouvelles habitudes de conduite et se révèle particulièrement adapté pour la circulation en milieu urbain. Un chauffeur et un formateur de la société Oissel Transport, qui a inclus un camion GNC dans sa flotte en 2019, apportent leurs témoignages de professionnels de la route.
Avec des réglementations qui ne cessent de se durcir, notamment pour les livraisons en centre-ville, les transporteurs routiers sont de plus en plus nombreux à étudier l’option de camions roulant au gaz à la place du diesel pour le renouvellement de leur flotte. C’est notamment une alternative étudiée très attentivement depuis l’apparition des “Zones FE” (zones à Faible Émission) – introduites par la Loi d’Orientation des Mobilités, dite loi LOM, datant du 24 décembre 2019 – qui imposent des restrictions de circulation dans les principales métropoles urbaines. Prestataire de Butagaz pour le transport de bouteilles, la livraison de gaz en citerne pour les particuliers ou les professionnels et la logistique entre usines et dépôts du Groupe, la société Oissel transport dispose d’un camion GNC (Gaz Naturel Comprimé) conduit par Fabrice Lamotte, chauffeur habilité matières dangereuses depuis 1987. « Il n’y a pas d’appréhension particulière à conduire un camion roulant au gaz, comme tous mes collègues qui travaillent pour Butagaz, je connais très bien les caractéristiques du gaz et je suis habitué à respecter des procédures de sécurité », précise avec un sourire Fabrice. « C’est à la pompe qu’on apprécie d’abord le changement de carburant. Il n’y a pas d’odeur désagréable et de risque de glisser sur une flaque lorsqu’on fait le plein comme lorsqu’on remplit les réservoirs avec du diesel. La conduite change également car le moteur demande à rester plus haut dans les tours pour être performant. Au début, on ne s’en rend pas vraiment compte car le moteur est moins bruyant, cela demande de conduire un peu plus “aux cadrans” en vérifiant visuellement sur le compte-tours. Mais la diminution du bruit est un vrai avantage. En fin de journée, on ressent vraiment la différence ! »
La diminution de la nuisance sonore est un des avantages unanimement reconnus par les chauffeurs mais aussi par les riverains des zones de livraison. En ville, lors des arrêts aux feux tricolores par exemple, l’absence d’émanation et le silence de fonctionnement du moteur diminuent l’impact des nuisances sur les passants et autres usagers de la route. Fabrice Karolczack, formateur et conseiller à la sécurité pour le transport des matières dangereuses pour Oissel Transport, complète ce point de vue. « En termes de formation, nous aidons les chauffeurs à adopter de nouveaux repères car le régime moteur idéal se situe plus haut que sur un diesel. Ils doivent donc avoir une conduite plus anticipative, notamment dans les passages des carrefours, pour toujours respecter les règles de sécurité tout en maintenant un niveau de consommation optimal. L’acclimatation n’est pas très difficile car tous nos conducteurs sont certifiés suivant les règles de l’ADR (Accord pour le transport des marchandises Dangereuses par la Route) et donc très matures sur le sujet de la sécurité. De mon point de vue, le gaz est un carburant intéressant pour la distribution en zone urbaine, mais son avenir est conditionné par le nombre de stations-services qui vont s’équiper de pompes adaptées. »