1. RSE

  2. Nos engagements

  3. Le Partage

Le Partage : créer de la valeur

...et la partager avec nos parties prenantes. Historiquement présent dans les territoires, notamment ruraux, le groupe est un acteur de l’aménagement du territoire du point de vue de la préservation et du développement des emplois mais aussi en regard de l’accès pour tous à l’énergie. Il met ses performances au service d'un développement économique partagé avec ses parties prenantes.

L'engagement et le soutien auprès des territoires

Le Groupe privilégie l’implantation de ses activités sur le territoire national. Le service clients du groupe Butagaz est basé en France dans 4 régions différentes. En matière de relation clients, le groupe Butagaz a mis en œuvre un dispositif d’accompagnement dédié à la lutte contre la précarité énergétique. 12 conseillers clientèles ont été spécifiquement formés sur ce sujet complexe. 

LE SAVIEZ-VOUS ?

D'après l'Observatoire National de la précarité énergétique, près de 6 millions de ménages étaient considérés en situation de précarité énergétique en 2019.

Le groupe Butagaz lutte également contre la précarité énergétique avec le premier projet de la Fondation, de rénovation de logements énergivores d'un village du Pas-de-Calais.

Créée en 1998, l’Association Française de la Relation Client (AFRC) regroupe aujourd’hui 3 500 membres issus de 250 entreprises et de 23 secteurs d’activité différents. Sa vision : faire de l’expérience client une discipline à part entière  et un levier de transformation des entreprises. Comment ? En montrant que la relation client est un gisement de valeurs, de croissance et de sens notamment par le développement de standards d’éthique et d’excellence relationnelle. Parmi eux figure la certification “AFRC 100 % Relation Client France” et “Service France Garanti” qui a été délivrée en 2021  au groupe Butagaz. Décryptage avec Éric Dadian, président de l’AFRC.

Pourquoi avoir créé la certification “100 % Relation Client France”  et “Service France Garanti” ?

« À la demande du Ministère de l’Économie, nous avons créé en 2019 des groupes de travail pour analyser les enjeux du secteur de la relation client et dégager des voies de progrès. L’un d’eux a réuni des membres de l’AFRC et du SP2C(2) pour réfléchir à la manière de valoriser les entreprises qui s’engagent sur les territoires dans une dynamique de proximité, que ce soit par l’insertion locale, le maintien de l’emploi, la formation. 

Pourquoi avoir créé la certification “100 % Relation Client France”  et “Service France Garanti” ?

C’est de ces travaux qu’est issue la certification “100 % Relation Client France” et “Service France Garanti” que nous avons élaborée en 2020 en partenariat avec l’association Pro France. Elle atteste que l’ensemble des interactions clients, en particulier via les canaux à distance (mail, SMS, chat, réseaux sociaux etc..), est effectué sur le territoire national. Butagaz est l’une des 10 premières marques /donneurs d’ordres lauréats. » 

 

Quels engagements met-elle en avant ?

 « C’est d’abord une marque d’engagement fort de la part d’une entreprise auprès d’un territoire, à l’heure où conserver des emplois en France est de plus en plus difficile. 

Les métiers de la relation client représentent seulement 300 000 emplois dans l’Hexagone, contre 800 000 en Allemagne et 1,2 millions en Grande-Bretagne. Pour une entreprise comme Butagaz, la certification traduit un effort réel pour maintenir la création d’emplois en local, y compris dans des zones rurales. Ces efforts ont du sens auprès des consommateurs qui aujourd’hui recherchent de la proximité et veulent avoir affaire à des marques qui prennent des engagements concrets en matière de RSE. La crise sanitaire a accéléré une tendance de fond. Proximité, circuits courts, transparence, sobriété, simplicité, recyclage, économie circulaire sont les valeurs que plébiscitent les clients et les salariés qui sont eux-mêmes des consommateurs. C’est aussi un engagement dans la durée : les entreprises qui obtiennent la certification doivent respecter ces critères pendant 4 ans et l’intégrité  de leur déclaration est vérifiée chaque année par un audit de contrôle. »

 

Quel est son niveau d’exigence ?

« Elle est délivrée uniquement si 100 % des services clients de l’entreprise en équivalent temps plein – internalisés ou externalisés – sont localisés en France. Cela signifie le recours à une main d’œuvre employée sous le régime des contrats de travail de droit français. Avant agrément, les entreprises sont auditées par l’AFNOR pour s’assurer qu’elles remplissent les critères des deux référentiels associés – “Service France Garanti” et “Relation Client 100 % en France”. Certains critères tels que des actions de responsabilité environnementale du type rénovation énergétique ou des actions d’insertion locale en faveur du handicap par exemple ne sont pas obligatoires  pour l’instant mais Butagaz les remplit déjà ! » 

Témoignage de Nathalie Virgo, Secrétaire générale de la Fondation groupe Butagaz

Voir nos engagements pour la lutte contre la précarité énergétique

L'engagement auprès de la filière professionnelle

Le groupe Butagaz veut être une ressource pour tous les artisans engagés, avec leurs clients, dans une démarche de transition énergétique.

Avec Facilipass et Artiprimes, il développe des services d’accompagnement qui simplifient l’accès et l’obtention d’aides et financements d’État dans le cadre de projets de rénovation thermique et de transition énergétique.

LE SAVIEZ-VOUS ?

En 2019, le groupe Butagaz a créé, en partenariat avec la CAPEB (Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment), le dispositif « Facilipass » qui permet aux particuliers de remplacer une ancienne chaudière fortement consommatrice par une pompe à chaleur à haut rendement énergétique avec un faible reste à charge et la possibilité d’étaler les échéances de paiement sur plusieurs années.

La culture client et citoyenne

L’expérience client, c’est-à-dire la qualité de la relation avec ses clients et ses partenaires, est primordiale pour le groupe Butagaz. L’expérience client est cultivée et évaluée en de nombreuses occasions.

La formation interne et l’animation : des leviers pour lutter contre la précarité énergétique

Afin de proposer un accompagnement adapté à ses clients en situation de précarité énergétique, le groupe Butagaz a fait monter en compétences un réseau de 12 référents venant de différentes filiales et services. Céline Raux, coordinatrice qualité et compliance pour Logigaz et Distrinord, est devenue référente précarité énergétique et animatrice des référents, en 2020.

« En 2020, le groupe Butagaz s’est rapproché de plusieurs collaborateurs de différentes filiales pour savoir s’ils étaient intéressés par le fait de porter la bonne parole sur les sites en matière de lutte contre la précarité énergétique », explique Céline Raux, chargée de l’animation du comité précarité énergétique au niveau Groupe. Les référents ont bénéficié d’une formation animée par Bernard Saincy - Président du cabinet Innovation Sociale Conseil et de l’association Stop exclusion énergétique, lors d’un premier séminaire en mai 2020. En septembre 2020, les référents ont échangé sur les dispositifs d’aides auxquels les clients peuvent être éligibles (second séminaire de formation). La formation  a ensuite été déclinée auprès des  200 conseillers clientèle du Groupe selon un format allégé. Tous ont reçu un kit de e-learning qui a servi de support aux référents précarité pour s’assurer qu’ils avaient bien été formés et répondre à leurs questions. Cette formation, qui est mise à jour régulièrement, fait désormais partie du parcours d’intégration des nouveaux salariés. « Une fois les référents nommés et formés, il s’agissait de les faire connaître auprès des équipes pour faciliter leur identification », complète Céline Raux. Pour cela, des interviews ont été menées et diffusées en interne afin que chaque référent soit bien identifié au sein de l’entreprise. Fin 2021 après une mise à jour des connaissances sur l’évolution des aides et de l’actualité sur la précarité (troisième séminaire), les référents ont participé à des jeux de rôle portant sur des cas clients réels ou imaginaires. Cette méthode d’apprentissage visait à mieux discerner les clients en situation de précarité énergétique réelle des mauvais payeurs. « Cette journée a été l’occasion de renforcer la cohésion du groupe. Nous nous sommes rendu compte que nous étions confrontés aux mêmes difficultés. Même si les cas clients et les référents sont distincts, il n’y a pas une solution idéale ! C’est pourquoi chacun peut proposer la sienne », explique Céline Raux. En parallèle, Céline Raux décide de réunir les référents Logigaz pour échanger lors d’un comité précarité énergétique(4). Sous leur impulsion, ce comité finit par essaimer auprès des référents des autres filiales. Un nouveau collectif est né : le comité précarité du groupe Butagaz, que Céline Raux a animé tous les mois pendant 2 ans. Il réunissait sept collaborateurs de Logigaz, deux de Gazamor, deux de Proxigaz et une personne de Socogaz. « C’était important pour créer du lien et harmoniser les pratiques. Les filiales étant géographiquement dispersées, il était nécessaire de cadrer l’information pour permettre à tous d’acquérir le même niveau de connaissances. C’est un organe qui a permis d’animer la démarche, de partager les bonnes pratiques,  de collecter des cas clients, de les analyser et de discuter des difficultés rencontrées en tant que référent. 

La plupart des référents étant eux-mêmes conseillers clientèles, il est assez aisé de diffuser le sujet  au niveau du Service Clients », déclare Céline Raux.

Chaque membre du réseau exerce son rôle de référent en plus de son cœur de métier. Il prend en charge les cas client les plus complexes et accompagne les conseillers qui ne sont pas experts du sujet. « Auparavant, le fait d’avoir de bonnes connaissances en matière de lutte contre la précarité énergétique pouvait être un élément additionnel. Aujourd’hui, c’est un prérequis dans un contexte de hausse des prix de l’énergie, surtout en tant que fournisseur d’énergie », conclut Céline Raux.

Céline Raux, coordinatrice qualité et compliance pour Logigaz et Distrinord

L'innovation

Seul acteur de son domaine à disposer de son propre centre de recherches situé à Rognac dans les Bouches du-Rhône, Butagaz encourage l’open innovation pour améliorer la sécurité et le confort de ses clients ainsi que leur transition énergétique.

Fondée en 2020, la Fondation est conçue comme le laboratoire de mise en pratique de la promesse de l’entreprise : jouer un rôle actif dans la transition énergétique de proximité.

IoT et énergie : des partenariats au service de la création de valeur

Les décrets Tertiaire et BACS fixent pour les bâtiments des objectifs ambitieux en matière  de performance énergétique(3). En 2021, EKIVOLT s’est associé au groupe Butagaz pour proposer  aux foncières et property manager une solution innovante répondant à ces nouvelles exigences : un service de répartition d’énergie et de facturation directe de leurs locataires. Pour fiabiliser sa solution technique, EKIVOLT a fait appel à Wattsense, un spécialiste de l’Internet of Things (IoT).

En matière d’économies d’énergie, les contraintes fixées par la règlementation en vigueur impliquent la mise en œuvre de solutions de comptage puissantes fournissant des données précises sur l’usage énergétique des bâtiments par leurs occupants. C’est là que se situe l’expertise d’EKIVOLT. Cette société agile et innovante, fondée par Nicolas Scarano, équipe les bâtiments tertiaires de sous-compteurs dotés de capteurs collectant des données de consommation en temps réel. 

« Grâce au sous-comptage, on peut dire précisément combien consomme une climatisation dans un étage précis. Un client peut alors cibler finement les postes où des économies d’énergie sont possibles. Les données issues de la télérelève permettent d’engager des actions immédiates. Elles garantissent surtout une refacturation équitable des locataires au réel, sur la base de leur consommation effective. C’est la promesse de notre métier. En tant que fournisseur d’énergie, nous accompagnons aussi nos clients sur les bilans de puissance, les achats d’énergie », explique Nicolas Scarano, Directeur d’EKIVOLT. Pour étoffer son expertise sur la fourniture d’énergie, EKIVOLT s’est rapproché de Gaz Européen, entité du groupe Butagaz. « C’est un vrai métier et on avait besoin de compétences complémentaires et de souplesse pour rester en mode startup. Gaz Européen sait adapter son business model aux changements de marché. On partage aussi avec les équipes le même sens du pragmatisme et du Service Clients. Un vrai cross-selling peut s’opérer sur les segments que nous adressons conjointement », observe Nicolas Scarano. « Être adossé au groupe Butagaz sécurise notre développement tout en conservant notre identité. On participe aux réunions commerciales du Groupe et on se challenge mutuellement sur des idées que l’on teste sur le marché », ajoute-t-il.   

Pour optimiser la télérelève et s’affranchir des systèmes de GTB (Gestion Technique du Bâtiment) classiques onéreux à l’achat, complexes à installer et à maintenir, EKIVOLT a noué un partenariat technologique avec Wattsense, une startup lyonnaise créée en 2017.

« On a affaire à des ingénieurs et techniciens pragmatiques dotés d’une vraie fibre innovante. On souhaitait une solution fiable et sur-mesure pour l’immobilier et on a trouvé en Wattsense le bon partenaire », affirme Nicolas Scarano. Wattsense a conçu un boîtier qui connecte en simultané – en filaire comme en radio – tous les sous-compteurs, les équipements et certains organes centraux d’un bâtiment (type chaufferie, groupe froid). Ce boîtier traduit leurs données de fonctionnement dans des langages ouverts (ou protocoles) pour être collectées et transmises à une plateforme de gestion dédiée. L’installation est simplifiée, rapide et abordable. « Grâce à cette passerelle universelle, on peut connecter un bâtiment en seulement quelques heures sans faire appel à un automaticien ou un intégrateur. Le système est interopérable : il communique avec tous types d’équipements indépendamment de leur marque ou de leur date de mise en service. Notre solution est bien adaptée aux bâtiments de taille intermédiaire où la régulation reste classique et où coexistent souvent des appareils récents et plus anciens », explique Romain Philipon, Responsable de compte chez Wattsense. En matière d’adaptabilité et d’intégration, cette technologie est l’une des plus performantes pour relayer les données du sous-comptage.

« Nous sommes le transmetteur, EKIVOLT est le cerveau. Notre valeur ajoutée se situe au niveau de la connectivité et de la collecte des données, l’expertise d’EKIVOLT réside dans l’analyse des données énergétiques. Grâce à nos solutions combinées, leurs clients disposent de tableaux de bord qui visent à définir des plans d’actions pour consommer mieux et moins », conclut Romain Philipon. 

Nicolas Scarano, Directeur d’EKIVOLT

Témoignage de Jean-François Leclercq, directeur du service clients de Proxigaz.

Service clients : l'essentiel de la culture Butagaz

La satisfaction est à l’origine de la bonne image et du succès de la marque auprès de ses clients. Chaque jour des conseillers se consacrent à cette mission en répondant à leurs appels et courriers. Ils y mettent leur énergie, leurs qualités humaines et toutes leurs compétences.

Ecouter et comprendre

Chez Proxigaz, filiale de Butagaz, une équipe de six personnes s’active pour répondre aux demandes des clients. Chaque jour, ces conseillers mettent le client au centre de leur attention. À leur tête, Jean-François Leclercq se voit davantage comme un coach et un animateur que comme un manager. L’homme a réuni autour de lui un groupe solide constitué de personnalités recrutées avec soin. Le métier est fatiguant et un turn-over non-maîtrisé serait préjudiciable au service. « Il faut avoir beaucoup d’écoute et d’empathie pour guider les clients, prendre en charge les problèmes qu’ils rencontrent et y apporter des solutions », souligne Jean-François Leclercq.

Au sein du groupe Butagaz, il n’existe pas de temps standard de communication car chaque client est unique. Le conseiller ne délivre pas un discours type. Il doit orienter et accompagner le client, l’amener à faire le bon choix et l’aider à maîtriser son budget. « Nos pratiques commerciales sont respectueuses et transparentes. Elles s’appuient sur notre Charte éthique », rappelle le chef d’équipe. « On ne pousse pas à la consommation. On est très sensibles aux situations difficiles. La précarité énergétique est un thème qui nous mobilise », fait-il remarquer.

Le groupe Butagaz a conscience de se démarquer des autres fournisseurs. « On connaît nos clients, on est au courant de leur situation, ils ne sont pas de simples numéros. Eux aussi connaissent nos prénoms, ils demandent souvent à s’entretenir avec la même personne. Nous offrons le même suivi qu’une boutique de proximité », ajoute encore Jean-François Leclercq.

Agir

Les questions concernant la facturation, les contrats, les commandes et les livraisons représentent le gros des appels. Mais il arrive parfois que des pannes surviennent. Rarement heureusement ! Jean-François Leclercq en dénombre environ une dizaine par hiver : « On met en place des solutions de dépannage en attendant de livrer le gaz. On ne laisse pas nos clients dans le froid ! »

Pour éviter que ces situations ne se reproduisent, Proxigaz prend le soin de rappeler ces clients l’année suivante à l’automne pour les inviter à vérifier leur jauge. « Nous transformons ainsi un souvenir déplaisant en expérience positive. Les clients apprécient notre sollicitude », juge le chef d’équipe.

En matière de service, on peut innover en permanence. En 2019, Jean-François Leclercq a instauré le “temps de traitement”. Lorsque la réponse à un problème donné ne peut se faire instantanément, le conseiller s’engage à apporter la réponse en moins de 24 h. Entretemps, il se renseigne auprès des autres services pour trouver l’information adéquate. En général, les rappels interviennent rapidement. « Le conseiller s’enrichit souvent de ce que demande le client », s’enthousiasme l’initiateur de ce service. La présence des conseillers rassure. Lors du confinement du printemps 2020, cette relation a constitué un lien social important, parfois le seul pour certains clients isolés. Il arrive aussi malheureusement que les clients soient confrontés à des catastrophes naturelles. En novembre 2019, un séisme a ravagé le village de Teil, en Ardèche. En octobre 2020, des torrents de boue ont dévasté La Bollène-Vésubie dans l’arrière-pays niçois, emportant parfois des maisons entières et réduisant à néant des propriétés. Aussitôt, Proxigaz a contacté ses clients du secteur pour prendre de leurs nouvelles. « Certains clients se sont soudain retrouvés sans rien. Nous les avons aidés au mieux que nous pouvions : nous avons mis à leur disposition deux conseillers pour s’enquérir de leurs besoins et les appeler régulièrement », raconte Jean-François Leclercq. Les équipes sur le terrain ont également systématiquement vérifié la fermeture des citernes dans les zones concernées.

Etre rapide et efficace

Aujourd’hui, alors que le digital ne cesse de gagner du terrain, la communication se fait de plus en plus interactive. « Les clients sont de plus en plus volatiles et exigeants. Ils recherchent la rapidité et la fluidité », constate le chef d’équipe. Pour offrir encore plus de satisfaction, le groupe Butagaz se fixe continuellement de nouveaux objectifs, s’inscrivant en cela dans une démarche de progrès continu très formalisée. Il mesure ainsi son “taux de décrochés” ainsi que son “taux de décrochés en moins de 60 secondes”.

Pour l’année 2020-2021, Proxigaz peut ainsi s’enorgueillir de prendre les appels en moins d’une minute, quasiment systématiquement (95,6 % de “décrochés” et 89,3 % de “décrochés en moins de 60 secondes”). Ces chiffres témoignent d’une amélioration conséquente. Dix points ont été gagnés en seulement deux ans. Le reporting se fait automatiquement et consigne les appels en attente ainsi que les demandes non traitées.

Pour Jean-François Leclercq, la mesure de la satisfaction client se fait au quotidien. « Il faut éviter l’inflation des questionnaires », estime-t-il, rappelant que le client n’a pas à perdre de temps avec ce genre de procédures.

Témoignage de Vincent Brenti, juriste chez Butagaz

Le groupe Butagaz a reconduit pour la cinquième fois sa “Journée Bleue”. L’objectif de cette journée est double : permettre aux clients et aux collaborateurs de se rencontrer, engager les collaborateurs et les partenaires à participer à des ateliers pour que chacun se sente impliqué dans le développement de l’expérience client.

Cultiver et entretenir une relation de proximité avec ses clients est un engagement cher au groupe Butagaz. Cette valeur s’incarne pleinement à travers les Journées Bleues qui mobilisent chaque année l’ensemble de l’entreprise. À cette occasion, chaque collaborateur, quel que soit son poste, y compris les managers et les membres du Comex, est invité à contacter par téléphone des clients de tous horizons – particuliers ou professionnels, gaz naturel, gaz liquides, électricité, granulés de bois ou revendeurs de bouteilles de gaz.

L’objectif de ces appels est de connecter tous les collaborateurs à l’expérience des clients, de les inviter à dialoguer avec eux afin de recueillir leur opinion sur leur relation avec le groupe Butagaz, en particulier dans la prise en charge de leurs besoins, puis d’évaluer leur niveau de satisfaction et de collecter de nouvelles idées.

Vincent Brenti, juriste chez Butagaz, confirme l’importance de cet événement annuel : « La Journée Bleue est le moment symbolique où l’on se rappelle que nos clients sont la base de toute notre activité, et que toutes nos actions doivent être tournées vers eux car sans eux nous ne serions pas là ! » Au-delà de son aspect emblématique, l’organisation de ce moment « permet de rassembler tous les collaborateurs pour penser un projet commun et de nous concentrer sur le but ultime de notre activité : satisfaire nos clients », résume Vincent Brenti avant d’ajouter :
« notre mission aujourd’hui est aussi d’accompagner le client dans sa transition énergétique en lui proposant des produits plus respectueux de l’environnement. »

La démarche est bien accueillie par les clients et leurs remarques constituent des éléments constructifs. Ces échanges confirment et renforcent l’ambition de toute la direction juridique et compliance, de guider l’entreprise vers les choix qui sont les bons, pas seulement au regard de la performance financière mais aussi dans le respect de l’éthique des affaires. « Par exemple, pendant la crise sanitaire, alors que la trêve hivernale [qui interdit habituellement, du 1er novembre au 31 mars, aux fournisseurs de résilier le contrat ou couper la fourniture même en cas d’impayé] a été prolongée pour les consommateurs de gaz naturel et d’électricité et que des facilités de paiement avaient été définies par les autorités pour certains clients professionnels, nous avons fait le choix d’octroyer des délais de paiement exceptionnels à nos clients en gaz en citerne, alors que les dispositions légales n’étaient pas applicables à cette activité. »

 

Après avoir récolté l’ensemble des retours à l’issue des Journées Bleues, les collaborateurs sont conviés à des ateliers dédiés à la relation et à l’expérience client visant à optimiser les procédures et les parcours clients, à concevoir de nouvelles communications et de nouvelles offres commerciales.

« Ces appels permettent de mieux comprendre les attentes de nos clients, tout en améliorant notre relation avec eux et en la rendant plus humaine, c’est pour cela que ce temps de partage s’inscrit pleinement dans notre démarche RSE », conclut Vincent Brenti.

L’entreprise est investie dans un partenariat officiel avec la Fédération Française de Handball depuis 2017. Ce partenariat est incarné par deux joueurs emblématiques des équipes de France : Cléopâtre Darleux et Nikola Karabatic.

Butagaz et le handball français

Le partenariat initié en 2017 entre la Fédération française de handball et le groupe Butagaz ne cesse de se renouveler. En parallèle des opérations de sponsoring des équipes de France et du naming de la première ligue féminine de sport professionnel - la Ligue Butagaz Énergie - c’est un accompagnement au cœur des territoires que les 2 partenaires ont conduit au premier trimestre 2022 avec une opération inédite. Explications de Philippe Bana, Président de la FFHandball.

L’idée est née à la réouverture des clubs après la crise du Covid qui avait vidé les gymnases pendant presque deux ans. Pour encourager les jeunes pratiquants à s’inscrire, ou à se réinscrire, malgré une période ayant éprouvé tous les budgets, la Fédération Française de Handball et les interlocuteurs du groupe Butagaz ont décidé de mettre en pratique le mot d’ordre de la nouvelle direction de la fédération :

 “Au service des clubs, au plus près des gens”. Via l’inscription sur un site internet dédié, les 40 premiers club amateurs participants bénéficiaient de 24 tenues complètes - sélectionnées dans le catalogue de l’équipementier officiel des équipes de France  - soit de quoi équiper deux équipes juniors ! En quelques jours, les 40 clubs étaient recrutés et, au printemps, ce sont près de 1 000 jeunes licenciés qui recevaient leur dotation complète : sacs, shorts et maillots aux couleurs de leur club ! Et parce que l’esprit du sport ne s’arrête pas au bord du terrain, les licenciés de la FFHandball se voient proposer des conditions spéciales sur les offres énergies proposées par le Groupe tout au long de l’année.

Notre rapport RSE

(1) dont près de la moitié de très satisfaits (42%) Source : Etude BVA réalisée auprès de 4 655 clients Butagaz en février 2022, vs 92% en 2021.
(2) SP2C : reconnu par le Ministère du Travail, le SP2C représente le secteur des centres de contact en qualité de négociateur au sein de la Branche des Prestataires de Service du Secteur Tertiaire.
(3) Le décret tertiaire précise les modalités d’application de la loi ELAN qui fixe un objectif de réduction des consommations énergétiques des bâtiments de - 40 % d’ici à 2030. Le décret BACS (Building Automation and Control System) impose à tous les bâtiments tertiaires de plus 290 kW de puissance installée en chaufferie ou groupe froid d’être connectés et pilotés à distance à des fins d’économie d’énergie.
(4) Aujourd’hui, les comités précarité énergétique ont été remplacés par une journée de formation et d’échanges avec différents acteurs sur le thème de la précarité énergétique.