Pour la troisième année consécutive, Butagaz poursuit son engagement pour des projets d’agroécologie, de reboisement, ou - nouveauté de cette année - de grande culture, en finançant 19 projets labellisés bas carbone par le Ministère de la Transition Écologique, partout en France.
Créé en 2019 par le Ministère de la Transition Écologique, le label bas carbone a pour ambition de contribuer à l’atteinte des objectifs climatiques de la France à horizon 2050 en permettant la certification de projets de réduction d’émissions de gaz à effet de serre et de séquestration carbone.
En cohérence avec notre démarche RSE, cette initiative marque notre engagement en faveur des projets de proximité dans l’agroécologie, le reboisement, ou encore la grande culture et vient enrichir nos nombreuses initiatives dans le domaine de la décarbonation de nos activités et de celles de nos clients. En effet, depuis plusieurs années, réduire notre impact environnemental est devenu l'une de nos priorités. Cela passe par la réduction de nos émissions de CO2(1), ou encore par une orientation 100% développement durable de notre croissance externe(2). |
9 régions
Plus de 169 hectares de grandes cultures
Plus de 40 hectares de vergers
Plus de 95 hectares de boisement
Plus de 10 kms de haies
Plus de 24 hectares de reboisement
Situé à Neuville-sur-Ornain dans la Meuse (55), le projet consiste à reboiser plus de 27 hectares de parcelles forestières dépérissantes, afin de restaurer le couvert forestier et renforcer la biodiversité locale. La plantation associe plusieurs variétés de peupliers choisies pour leur résilience et leur adaptation à des conditions variées. Ce boisement contribue à une gestion forestière durable, à la séquestration de carbone et à la création d’habitats favorables à la faune et à la flore, tout en impliquant les acteurs locaux.
Situé à Lamarche-sur-Saône dans la Côte-d’Or (21), il s'inscrit dans une démarche de restauration écologique visant à reboiser 2,15 hectares de terres ayant dépéri. Ces parcelles, qui avaient souffert d'une dégradation anthropique, ont été réhabilitées au printemps 2024 grâce à la plantation de peupliers Koster, une variété de peupliers reconnue pour sa croissance rapide et sa capacité à absorber le dioxyde de carbone (CO₂).
Situé à Longechenal en Isère (38), l’exploitation cultive blé, colza, maïs, tournesol et orge sur près de 70 hectares. La Ferme de Gilles Chavant, s'engage à réduire ses émissions de gaz à effet de serre pour adopter une agriculture plus respectueuse de l'environnement. Ces actions incluent une meilleure gestion des engrais, des rotations de cultures diversifiées, et une optimisation des sols.
Situé à Rouvroy-sur-Audry dans les Ardennes (08), le projet consiste à reboiser 3 hectares de parcelles forestières gravement touchées par les attaques de scolytes, afin de restaurer la résilience de l'écosystème forestiers. Le boisement s’effectue avec du douglas vert, une essence résineuse adaptée aux sols profonds et drainés, résistante aux scolytes et reconnue pour sa robustesse face aux changements climatiques, contribuant ainsi à recréer une forêt durable et favorable à la biodiversité locale.
Situé à Dangé-Saint-Romain dans la Vienne (86), le projet s'inscrit dans une démarche de valorisation de terres agricoles laissées à l'abandon. Il prévoit de boiser une superficie de plus de 10 hectares, apportant une nouvelle dynamique écologique à ces parcelles délaissées.
Située à Digny en Eure-et-Loir (28), l’exploitation cultive colza, blé tendre et orge d’hiver sur des sols limoneux sensibles à l’excès d’eau. L'exploitation adopte des pratiques visant à limiter le travail du sol afin de maximiser la création de biomasse.
Situé en Creuse (23) en région Nouvelle Aquitaine, le Verger des Trois-Fonds prévoit la plantation de 50 hectares de noisetiers. Les objectifs du projet sont d'une part de diversifier l'exploitation et d'autre part, l'implantation de noisetiers en Creuse dans le but d'approvisionner une entreprise locale et des artisans dans une logique de circuit court.
Situé à Frévent, dans le Pas-de-Calais (62), le projet consiste à boiser une surface de 18 hectares avec des feuillus et des résineux, essences particulièrement adaptées au dérèglement climatique, dont le mélange offre aussi une résilience aux attaques sanitaires. Le boisement vient compléter un petit massif forestier existant à proximité.
Situé à Chèvreville à proximité de Paris, dans le département de l’Oise (60), le projet a pour objectif de favoriser une agriculture biologique en plantant des pommiers sur 7,2 hectares. Avec un taux d’enherbement de 75% au pied du verger, cela est l’équivalent d’une prairie permanente, bénéfique pour la biodiversité.
Situé à Saint-Cyr-le-Gravelais en Mayenne (53), le projet consiste à boiser des terres agricoles et des prairies sur une surface de 5,9 hectares, de façon à constituer un refuge écologique pour la faune et la flore locale. Le boisement a été réalisé avec une diversité d’essences, notamment du chêne, du châtaignier et du hêtre, afin de réduire le risque d’attaques sanitaires futures.
Situé à Saint-Martin-du-Puy dans la Nièvre (58), le projet vise à reboiser des parcelles ayant subi le dépérissement intense d’un peuplement d’épicéas, dévastés par une attaque de scolytes. Réalisé dans un premier temps avec une essence de douglas, moins sensible aux épisodes de fortes chaleurs, le reboisement sera progressivement complété avec des chênes, des hêtres et des bouleaux.
Situé à Arsague dans les Landes (40), le projet consiste à développer un massif forestier adapté aux sols sur une quinzaine d’hectares. Le boisement a été réalisé avec une variété d’essences : pin Taeda, séquoia Sempervirens et tulipier de Virginie.
Situé à Châteauneuf-du-Rhône près de Montélimar, dans la Drôme (26), le projet a permis la plantation d’amandiers destinés à la production de nougat bio, sur une surface totale de 3,54 hectares. Le taux d’enherbement au pied du verger est de 100%, soit l’équivalent d’une prairie permanente, bénéfique pour la biodiversité.
Situé sur le Domaine des Vergers du Quesnay sur la commune de Pissy-Pôville, dans le département de la Seine Maritime en région Normandie, ce projet de compensation consiste à
planter 12 km de haies sur l’exploitation agricole. L’objectif est d’entourer la quasi-totalité des parcelles de l’exploitation de haies.
Situé dans la commune de Fournols, dans le département du Puy de Dôme, en région Auvergne-Rhône Alpes, ce projet prévoit le reboisement de parcelles forestières dépérissantes.
Situé dans la commune de Coussac-Bonneval, dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle Aquitaine, ce projet de compensation consiste à boiser des parcelles agricoles délaissées pour une superficie totale de 14,2 hectares, afin de compléter un massif forestier à proximité.
Situé dans la commune de Commensacq dans les Landes (Nouvelle-Aquitaine), ce projet consiste à reconstituer une forêt, qui a été sinistrée par un incendie en octobre 2022, avec du pin maritime.
Souhaitant garder un aspect le plus naturel possible, le propriétaire a fait le choix de conserver certaines lignes de pins incendiés qui serviront d’habitat pour les oiseaux et d'autres espèces.
Situé à Castelnau de Lévis, à proximité d’Albi, dans le département du Tarn, en région Occitanie, le projet consiste à planter des amandiers sur une surface totale de 3 hectares. Anaïs, 32 ans, reprend l’exploitation agricole familiale et convertit des terres délaissées en verger d’amandiers afin de diversifier la production de l’exploitation. La plantation en gobelets a été réalisée début 2024 (mi-février).
Situé dans la commune de La Ferté Saint-Aubin dans le département du Loiret, en région Centre-Val de Loire, ce projet consiste à boiser les parcelles actuellement à l’usage de prairies,
sur une surface totale de 5,60 hectares. Ce boisement vient compléter des clairières au sein d’un massif forestier existant.
153 072
arbres plantés
76.51
hectares de forêts et bois concernés
13.74
hectares de vergers concernés
Options de compensation carboneButagaz propose par ailleurs des options de compensation carbone. La compensation carbone est une démarche volontaire qui consiste à mettre en place des projets de réduction ou de séquestration d’émissions de gaz à effet de serre par le soutien de projets à impact positif. Ces projets soutenus sont proposés par les organismes South Pole et Act Commodities. Chacun de ces projets permet de réduire ou de séquestrer du CO2 mais aussi d'agir sur le plan environnemental, social et économique. Comment fonctionne la compensation carbone ?La consommation du gaz émet une quantité de carbone exprimée en kg équivalent CO2. Ces émissions carbones sont ensuite traduites en participation financière. Ainsi, Butagaz finance des projets de séquestration de carbone grâce à l’achat de certificats de compensation carbone vérifiés par des instances internationales reconnues. |
Nos panneaux solaires en autoconsommation ou en revente totale permettent de fournir une énergie verte entièrement produite sur le territoire français. Ils accompagnent nos entreprises dans la décarbonation de leur activité.
Le biopropane que nous proposons provient de l'ensemble du territoire français. Issu de ressources 100% renouvelables, ce produit biosourcé garantit un impact environnemental réduit ainsi qu’une préservation des ressources limitées de la planète.
Le contexte géopolitique et le changement climatique ont repriorisé les sujets de transition énergétique et écologique en France. Les pouvoirs publics ont ainsi mis en place un plan de sobriété énergétique que l'on vous présente en détail, afin de vous aider à comprendre ce qui va changer dans votre quotidien.
Le biopropane est une énergie disponible depuis plusieurs années sur le marché français pour l’approvisionnement des habitations privées. Ce gaz vert, 100 % renouvelable, assure une consommation d’énergie responsable et plus respectueuse de notre belle planète. C’est une alternative intéressante au gaz propane pour chauffer votre maison, pour produire l’eau chaude qui alimente votre douche et vos robinets ou encore pour faire fonctionner votre four et vos plaques de cuisson, afin de vous permettre de cuisiner vos meilleures recettes. Comment se déroule la fabrication du biopropane ? Quels sont les avantages du biopropane et de quelles installations devez-vous disposer pour en profiter ? Y a-t-il une différence entre le biopropane et le gaz propane ?
Conçus par l’homme, les gaz verts sont une option renouvelable qui répondent à vos besoins en énergie durable. Mais qu’est-ce que le gaz vert ? Il s’agit en réalité d’une dénomination générale qui regroupe plusieurs catégories de gaz. Le biométhane est une solution de remplacement durable au gaz de ville, le biopropane vise à se substituer à votre gaz en citerne habituel et le biobutane peut prendre la place du gaz en bouteille. On vous explique comment sont fabriqués ces différents types de gaz verts et pourquoi ils sont plus écologiques que leurs équivalents habituels.
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Avec sa participation au « Label Bas Carbone », Butagaz finance des projets en France permettant de contribuer à réduire les émissions de carbone et séquestrer du carbone. Ces projets ne correspondent pas à une compensation des émissions des activités de Butagaz.
(1) Diminution des émissions carbone entre 2018 et 2020, comprenant les émissions directes et les émissions indirectes liées à l’énergie des activités de Butagaz SAS (reporting Accuvio).
(2) En 2022, 100% de la croissance externe du groupe Butagaz a été dédiée à l’efficacité énergétique et aux énergies renouvelables. Pour plus d’informations, vous pouvez consulter notre dernier rapport RSE sur groupe.butagaz.fr/rse/politique-rse/rapport-rse.
Crédits photo : Getty Images et Stock CO2. Crédit vidéo : Info Compensation Carbone.
